26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 00:12

 

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Des élections régionales se profilèrent, un nouveau venu fut propulsé dans l'arène, du sang neuf, pas encore pourri par le système, bien sûr tout était réuni pour me faire saliver d'espoir.

 

Une réunion publique eut lieu sur ma ville, tout le gratin était réuni, tous mes détracteurs aussi, il va s'en dire, puisque ce sont les mêmes.

Une seule envie, me sortir de ce bourbier au plus vite, me faire entendre et trouver des solutions pour vivre au lieu de survivre; je m'interrogeais, et si c'était lui, l'homme de la situation, pourquoi hésiter, pourquoi ne pas prendre contact, via le site internet créé à cet effet.

Tout tenter, pour abattre ce mur du silence qui me tue chaque jour un peu plus, moi, mais aussi toutes ces victimes qui se taisent ou qui ne sont plus de ce monde pour pouvoir hurler leurs souffrances.

L'échange se mit rapidement en place, plein de promesses et d'écoutes, j'en ai gardé tous les mails, tant ils me semblaient précieux et importants; vieux réflexe de victimes, préserver toutes les preuves intactes pour le cas où ma parole serait encore et encore mise en doute .

Il fut élu, j'attendais donc les choses promises, une visite, une prise de contact, une rencontre en somme; nous devînmes amis sur FB.

Je recevais toujours un tas d'info sur l'ump et ses prises de positions , mais rien de concret sur mon devenir, à part un coup de fil, une fois, car j'avais aboyé un peu trop fort sur son mur et qu'entre gens bien élevés cela ne se fait point.

Je compris assez rapidement que ce sang neuf avait suivi des cours intensifs en langue de bois, et que se joignant à l'ensemble de la classe politique du 93, il allait comme eux, pratiquer un magnifique déni en uniforme.

 

A maintes reprises, jean Robin tenta d'obtenir un échange sur ma problématique, seul le silence lui revint en écho.....puis le destin s'en mêla , me permettant d'être informée d'une date, d'un lieu, d'une heure, justement d'un débat sur la sécurité avec BB:

 

 

 

 

 Curieusement, l'écoute de cet interview ne me surprit guère, tout y était, le déni, le visage crispé, embarrassé, une main devant la bouche, puis un doigt d'enfant sage la barrant; ce que ses mots ne disaient pas encore, son corps l'exprimait déjà, la mauvaise fois bien présente, le silence imposé, surtout ne rien dire, rester solidaire de la grande famille politique.

Pourtant je me surpris à sourire, je réalisais à quel point, il ne savait rien du dossier, des affaires, à part les "on dit" réchauffés à la sauce des divers intervenants ou élus dont la plupart ne m'ont jamais rencontrée, ne me connaissent pas ou pour VCC, mon maire, ne m'ont pas croisée ou parlée depuis plus de deux ans( d'ailleurs son absence fut longuement évoquée lors de mon "appel au peuple", il dit publiquement me soutenir, certes, mais où et quand?).

 

Un bottage en touche dans toute sa splendeur, devant un public conquis, goguenard, tant il fait bon transformer une victime en coupable .

Un vrai tour de magie effectué grâce à un énorme mensonge ;

 

"Tout le monde est prisonnier des procédures en cours "

 

Ou vous avez loupé des épisodes, cher élu et dans ce cas, je ne puis que vous le pardonner, ou  vous êtes un menteur dans toute sa splendeur; rayez la mention inutile .

 

voici donc de quoi vous instruire:

-Braquage à mains armées, 25 janvier 2004, fin de procédure 28 octobre 2004, placé au greffe en attente de preuves supplémentaires le 15 février 2005 .

-Viol en réunion, 22juin 2004, fin d'instruction 5 mai 2007, non lieu au bénéfice du doute 22juin 2007, indemnisation CIVI en novembre 2008

-Attaque avec un câble tiré par un scooter à la sortie du cimetière, 27 octobre 2006, classée pour non identification des agresseurs en mai 2007, indemnisation CIVI en février 2008

-Momification au Scotch, qualifiée de tentative d'assassinat, 10 avril 2007, classée pour non identification des auteurs en septembre 2007, en cours de CIVI

-Acide versé sur la main, 27 avril 2007, classée pour non identification des auteurs le 12 mars 2008, indemnisation CIVI  mai 2009.

-balancée dans les étagères, juin 2009, agresseur arrêté, possédant deux identités, mais libéré quelques heures après, infraction non constatée, pourtant plus de 20 jours d'ITT, classé sans suite en janvier 2010

 

Donc visiblement, ici comme dans la Vraie Vie, personne de chez personne n'est coincé dans aucune procédure. Toutes les enquêtes sont terminées, closes, et ont fait l'objet de décisions judiciaires.

Une seule reste en cours, je vous l'accorde, celle de ma garde à vue du 1er et 2 juillet 2010.

En faisant ce raccourci scandaleux du viol à la garde à vue, non seulement, vous zappez 6 ans de mon enfer, mais vous discréditez ainsi mes propos, mon combat, en semant cette graine immonde achevant chaque victime et que l'on nomme, le doute. Le pire c'est que vous inversez les rôles, vous le policier, celui qui m'a écrit ne pas vouloir utiliser mes souffrances de victime à des fins électorales, noblesse des sentiments quand tu nous tiens...

La victime devient la coupable et quand à votre femme, je ne lui souhaite pas de venir grossir le rang des victimes, car visiblement vous ne lui seriez d'aucun secours, des propos sidérant qui ne sont pas dignes du rang que vous occupez.

 

Vous en rêviez tous de cette inversion des valeurs, tellement plus facile, tellement plus simple, tellement plus conforme aux petits arrangements entre amis . Du vrai politiquement correct à faire "gerber " le peuple de France tout entier.

 

Toutefois, permettez moi de savourer cet instant, les images, vos propos ont fait jaillir ma vérité, vous ne pouvez plus poursuivre dans ce déni; acceptez ma réalité, acceptez de me regarder droit dans les yeux et écoutez moi; je vous accorde le droit à l'erreur que mon statut de victime ne me donne pas, la société toute entière en ayant décidé ainsi, mais pas le peuple.

  

S'il vous plaît, aidez moi à revivre, engagez-vous, au nom de toutes les victimes pour que plus jamais.... 

 

Je vous ai donné ma confiance, ma voix, comment pouvez-vous m'avoir trahie ainsi, réveillez-moi, rassurez-moi, c'était juste un cauchemard, n'est ce pas?

                           

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                                         Citoyennement votre.

 

 

 

 



 



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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 10:22

Arts-formes-couleurs, l'association culturelle, la plus ancienne de la ville de Le Bourget :

 

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Historique de l'association

L'association ARTS-FORMES-COULEURSest régie par la Loi de 1901. Elle fut créée en 1955 sur la commune du Bourget en Seine Saint Denis (93350) par un groupe d'artistes bourgetins.

Elle se donnait alors pour but, de rassembler le travail de quelques artistes amateurs et confirmés.

Dès le départ la vitalité et la qualité des activités artistiques menées au sein de l'association attirèrent de jeunes artistes en quête de conseils propre à consolider leurs démarches. Un bon nombre d'entre eux grâce à leur passage dans l'association virent leur candidature retenue dans des écoles d'Art.

En outre, depuis 52 ans maintenant, un salon annuel est organisé à l'Hôtel de ville du Bourget. Il permet aux adhérents d'AFC et à leurs amis d'exposer au public durant deux semaines consécutives les œuvres de leur choix.

La pérennité de l'association et celle de son salon furent assurés par Guy WARTEL, son président depuis 1972 et ce, jusqu'à son décès survenu au printemps 2006.

Aujourd'hui, AFC veut poursuivre le projet de ses créateurs.

Dans cet esprit une attention toute particulière est portée aux activités d'atelier et au travail à partir d'un modèle vivant. Là, peuvent s'échanger expériences artistiques individuelles notamment dans l'exploration de nouvelles techniques.

 

http://www.artsformescouleurs.fr/pages/galerie.php

 

 

 Courant septembre, le site de cette association va se faire hacker et menacer au nom de l'interdit coranique, qui, selon lui, proscrit la représentation humaine ainsi que le hadith récusant toute figuration de l'homme.

N'étant pas spécialiste de la question, il semble que soit également interdit aux hommes de dessiner le nu, d'après des modèles vivants.

 

 

 

 

  pourquoi pas,

 

               sauf que nous sommes en France

 

                     et nulle part ailleurs! 

 

 

 

 

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voici donc le texte qui apparaissait

 

       en lieu et   place

 

           du site d' arts-formes-couleurs .

 

Une affaire que nous allons donc suivre au plus proche, tant il est inconcevable pour moi, mais j'en suis certaine pour vous aussi, que quiconque vienne dicter ses lois sur le sol français, en s'en prenant encore une fois à notre culture, nos valeurs, notre art.

 

 

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Après recherche , nous pouvons identifier un peu mieux ces hackers en les suivant à la trace sur le net:

 

une opération de hack qui a touché plus que 50 sites hébergés en Tunisie passe inaperçue…

Cette opération a eu lieu le 2 octobre à partir de 1h du matin. Un groupe hackers turcs nommé Devr-i MEFSEDET a visiblement exploité une faille de sécurité au niveau du serveur tunisien hébergeant ces sites .

D'autres sites culturels espagnols ont également été touchés .

 

Comment art-forme-couleur, qui a été hacké vers le 20 septembre mais n' est pas hébergé à l'étranger, peut -il se retrouver au milieu de ce merdier, si nous n'avions pas, en notre chère commune, des infiltrés un peu trop extrémistes à mon goût .

 

Il faut dire que la nouvelle mosquée privée est désormais à deux pas!

 

       Mais que font donc:

                                    nos élus,

                                          nos institutions?

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 08:50

Mon petit papa,

 

 

 

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j'espère que tu vas bien, que tu as retrouvé tous tes copains de l'escadron 212, car désormais, plus un seul d'entre vous, ne partage mon quotidien; la vie est triste sans vous tous.

 

Vos rires, vos blagues, vos chansons, vos histoires, vos discussions sans fin sur le monde et nos politiques me manquent. 

 

Vos conseils, votre écoute, vos remarques ou vos engueulades raisonnent pourtant encore en mon coeur. Mes souvenirs en sont imprégnés et bien souvent c'est en pensant à vous tous, que je retrouve cette sérénité protectrice, dont vous m'avez fait don, chaque jour un peu plus, en partage.

 

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Tu te souviens, lorsque tu m'avais appris à nager sous l'eau, au milieu de La Charente, pour voir les poissons au fond des eaux claires, à en frétiller de plaisirs; ce jour là, tu m'avais communiqué ton savoir faire, pour nager en apnée et décompter le temps.

Cet apprentissage m'a sauvé la vie, quarante-cinq ans plus tard, lors de la tentative d'assassinat par étouffement au Scotch...A cet instant précis, où la vie terrestre quittait mon corps, ta voix, puis ton sourire, puis la chaleur de tes mains sont venus me propulser sous les eaux et me rendre ma mémoire: celle de la survie.

De cette mort éminente, tu as fait, par delà le visible, un instant de magie, celle de nos retrouvailles.

 

 

 

Depuis, je te l'avoue, je repense souvent à nous deux, à la caserne, aux bals de la sainte-Geneviève et aux confettis que je cherchais partout dans vos cheveux quand vous rentriez du bal avec maman. Je vivais mes plus belles années et  j'en souris encore. M'asseoir entre vous deux, dévorer une tartine de pain grillé et vous écouter me raconter, la valse à quatre temps, votre tango endiablé, le jeu de la chaise gagné par vous deux ou la bourrée retrouvée.

Puis maman allait se coucher, je me blottissais en tes bras, ma tête contre ton coeur et bien souvent tu me racontais, La France:

 

-celle de mes grands-pères, dans les tranchées de 14-18 et les têtes d' obus transformées en encrier;

-celle de ton enfance et de tes cerfs-volants;

-celle de la guerre de 39-45 où tu fus fait prisonnier et envoyé à Dresde et ses environs; 

-celle de ta résistance en devenant interprète, ayant ainsi accès aux précieux renseignements; car derrière ton grand sourire et tes yeux rieurs se cachait un redoutable observateur, l'ennemi lui, te prenait pour un grand naïf! tu en ris encore, j'en suis certaine.

De la guerre, tu ne m'as jamais conté les horreurs, préservant mes oreilles de petite fille, mais tu m'as appris à m'oublier pour ce pays, tu m'as communiqué ton amour pour sa liberté de pensée, d'être, de vivre.

-celle de la guerre d'Algérie durant laquelle je suis née et qui te valut le surnom de "chibani" car tu étais le plus vieux de l'escadron.

-celle de De Gaulle et ton admiration, ton respect, pour ce général qui conduisit le peuple à la victoire, disais tu .

Je ne t'ai vu pleurer ouvertement devant moi, que le jour où tu appris sa mort, même ma main dans la tienne ne te consolait pas.

Lorsque tu n'étais pas en déplacement, tu venais me border, instant magique, trop rare cependant, pour la petite fille que j'étais; Au creux de l'oreille, tu me murmurais ceci:

" Minège, songe toujours aux priorités de ta vie, mon coeur; tout d'abord, il y a ton Pays, notre patrie, puis viennent ta Région, ta Ville, ton Quartier,  ta Rue, ton Escalier, ton Voisin, ta Famille proche et s'il te reste encore du temps pour te sauver toi, alors fonce mon amour, le devoir n'attend pas, La France a besoin de tes bras, bisous, fais de beaux rêves, mon ange".

Aujourd'hui, papa, notre patrie souffre, s'épuise, se disloque, s'étiole; elle est méconnaissable :

- mes bras ne suffisent pas à la relever,

- ma voix n'a pas trouvé l' écho nécessaire à la faire se réveiller,

- mes yeux cherchent en vain la reconnaissance de ses couleurs,

- mon coeur bat à tout rompre, la patrie est en danger......

 

 

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Pourtant, tu sais papa, je tente de faire au plus proche de ce que tu m'as transmis toi , maman, tes copains, mais La France ne m'entend plus. 

Elle est trahie, bafouée de toute part, par ceux qui se disent français parce qu'ils sont nés sur son sol, mais aussi par ceux qui sont français de souche comme l'on dit aujourd'hui.

 

Il est fort mal vu d'oser vouloir rétablir, l'ordre, le bon sens et le respect.

 

Il est dangereux de s'exprimer ouvertement à la façon de Voltaire ou d'utiliser de vieilles expressions françaises.

 

Il est criminel de dénoncer ses violeurs et de vouloir pour eux la cour d'assise.

 

Il est passible de la cour martiale, toute personne, qui comme moi, tire à boulets rouges sur des institutions, des élus de la République, pour manquement grave à leurs obligations de protection.

 

Papa, j'ai fait vingt-quatre heures de garde à vue, pour avoir résisté et fait mon devoir de fille envers sa patrie.

Je sais désormais, que ceux qui ont commis cela, étaient encore plus ignobles que je ne le pensais .

 

Le chauffeur du commissaire de La Courneuve (Henry Claude), qui appartenait avant, à la Brigade d' Information de Voie Publique, est en prison pour racket auprès des commerçants étrangers et des prostituées......

 

je te laisse apprécier; déjà à ton époque, la gendarmerie ne portait pas la police dans son coeur...tu imagines le chantier, car justement, le gouvernement veut tout réunir.....Dans le 93, ils vont s'arrêter entre-eux à ce rythme!

 

"Un gendarme derrière chaque policier",

                                       semble être une bonne devise, non!

 

Quant au capitaine Gallet, l'homme qui s'intéressait de près, à savoir ce que je ressentais, à la vue d'une France Islamique, il vient d'être promu commandant; sans doute pour bons et loyaux services rendus à l'état.

J'espère qu'il ne laissera plus traîner ses godillots sous son bureau, pas le bon profil du grade, côté représentant de la police dite nationale. C'est promis, je lui fais cadeau d'une bombe .....désodorisante:))

 

Tu vois, l'on est toujours salie par plus sale que soit; mais il faut dire que dans toute cette chienlit, j'ai gardé le meilleur pour la fin.

 

 

Un député a réagi, d'autres suivront, le déni ne peut se poursuivre au nom de toutes les victimes. 

 

 

 

 

 

Le 25 septembre, j'avais lancé un appel au peuple qui a été fort bien entendu ;

Ce jour là, j'ai senti ton souffle dans mon cou à maintes reprises, une super ambiance, avec des moments forts et des échanges vrais.

 

 

 

 

  
 

 

Chaque soutien était une petite lumière, dans mon tunnel, je ne marchais plus à tâtons, dans la crainte de choir; je pouvais me redresser, me tenir debout, faisant face à l'ampleur de la tâche.

 

Je pouvais enfin, lâcher ce fil de soie me reliant perpétuellement à toi, pour tendre mes mains vers eux, avancer ensemble vers demain, pour que TA France soit encore LA LEUR, pour l'éternité .

 

 

 

 

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Je t'embrasse très fort, c'est promis, je serai toujours fidèle à nos valeurs, à nos couleurs, à nos rires;

la prochaine fois,  je te raconterai, comment j'ai infiltré la nouvelle mosquée.

             Que les étoiles vous gardent mon père.

 

 

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 23:04

15 septembre 2010:

 

 

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Chers amis du groupe Facebook "victime et non coupable", fidèles lecteurs du "blog de Marie-Neige";

 

 

 

vous n'êtes pas sans savoir que je vis un calvaire depuis plus de six ans maintenant, attaque à main armée, viol en réunion, projection d'acide, tentative de meurtre par étouffement, ect.

 

 
En tout vingt-cinq agressions caractérisées, dont certaines reconnues et indemnisées par la Commission d'indemnisation des Victimes (CIVI), d'autres sont en cours, d'autres enfin ont généré des jours d'ITT.


Pourtant je sens l'étau se resserrer autour de moi, puisqu'au lieu de m'aider la justice et la police m'ont fait subir une garde à vue de 24h le 1er juillet dernier.

 

 

 

 

Malgré des sites d'information sur Internet qui relaient mes malheurs après avoir enquêté, malgré quelques politiques qui commencent à parler, malgré des témoignages de soutien qui m'arrivent de plus en plus nombreux, y compris depuis l'étranger (d'Amérique du Nord et de Californie notamment), rien ne change, bien au contraire.

 

 

C'est pourquoi j'ai décidé de réagir en lançant le dernier appel qu'il m'est possible de lancer comme je le dis dans l'une des deux interviews vidéos que j'ai données : l'appel au peuple.

 

J'ai besoin de vous pour m'aider à continuer mon combat pour la culture française, pour ne pas céder au chantage et aux intimidations quotidiennes, aux violences d'où quelles viennent.

Cela me ferait vraiment chaud au cœur, et m'apporterait un semblant d'espoir dans cette nuit permanente, de vous voir bientôt dans ma librairie-papeterie-presse.

 

 

Si vous le pouvez, venez jusqu'au Bourget, ce n'est qu'à un quart d'heure de Paris en RER, et la librairie est à deux pas de la gare.

 

 

 

 

Si possible venez le samedi 25 septembre vers 15h, je vais m'organiser pour ne rien prévoir d'autres à ce moment-là et nous pourrons un peu discuter. Je ne vous cache pas non plus qu'un petit soutien financier, sous la forme de l'achat d'un magazine ou d'un bibelot de la boutique, en fonction de vos moyens, m'aiderait plus concrètement encore.

Pour ceux qui ne peuvent se déplacer, mais désirent tout de même me soutenir, une boutique en ligne: link (l'échoppe vous livre)


 

 

 

Alors au 25 septembre, je compte sur vous, vous êtes mon dernier espoir.

 

 

 

 

 

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     Marie-Neige Sardin, libraire à Le Bourget, au 31 avenue jean Jaures, depuis 32 ans.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 09:19

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ils sont partout, sur le papier, dans les rues, dans les vidéos et sur le marché, dans les escaliers et les coursives, en mairie, en préfecture, au tribunal ou au commissariat; pourtant, malgré cette présence de tous les instants, vos questions, mes attentes demeurent sans réponses depuis désormais six longues années.

 

En découvrant cet article dans le journal de la ville, j'ai mesuré à quel point,  ils étaient tous complices et solidaires dans ce politiquement correct que je dénonce à chaque fois que je le peux.

Tous présents en ma ville et pas un seul n'a au moins eu  la démarche franche, voire audacieuse, de me rencontrer par humanisme, par responsabilité, par devoir, par réaction, par compréhension.

Le dossier ne les interpelle pas, ils le gèrent en petit comité, en toute discrétion, dans le silence. Comme l'ont écrit certains, ils pratiquent, des "petits arrangements entre amis".

 

Je suis devenue  cette citoyenne clandestine que nul ne défend, que nul ne protège, mais que l'on met en garde à vue pour une expression "arrêtez de faire la bamboula" et une soit-disant dégradation de scooter.

Ce dernier, stationnant jour et nuit à tout vent, n'était d'ailleurs plus assuré depuis deux mois. Sa propriétaire avait sans doute trouvé là, une idée géniale, pour se faire rembourser les dégâts occasionnés par elle-même au moment d'une chute sur la chaussée et les autorités y ont vu une aubaine, celle de m'imposer leur dictature; car avouons le "ils n'en peuvent plus de moi "; comme je les comprends, tant d'insistance, de bonne fois, de vérité, de valeurs, de droitures, d'abnégation, de résistance, ne peuvent être que pure folie en ce monde où seule la déraison d'état prend place un peu plus chaque jour.

 

 

NON, la ville ne se mobilise pas pour ma tranquillité, la preuve en image :

 

 

 

 

 

 

 

 

NON, "la délinquance de proximité n'a pas reculé d' environ vingt pour cent" dans le vécu de chaque bourgetin, loin de là.

Sur le papier certainement, chiffres à l'appui, je sais qu' ils sont capables de nous le prouver.

Ils oublient de parler de toutes les plaintes que l'on refuse de prendre, au commissariat de La Courneuve ou à l'annexe du Bourget, pour des raisons futiles, faisant  que les victimes arrivent à la librairie en me disant " ils ont pas voulu prendre ma plainte, tu te rends compte .......Comment je fais, c'est une honte?"

Cette méthode simple, efficace pour les statistiques, pratiquée sans doute aussi en d'autres communes, masque la réalité, nous mettant encore plus en danger; là encore, ce perpétuel déni et une victime qui s'en retourne avec son vécu et des souffrances qui ne seront jamais reconnues par les institutions. Silence "tout va bien".

 

Alors bien sûr, quand j'entends et vois le Maire d'une autre commune, prendre des positions claires, ne pas pratiquer la langue de bois et m'entendre enfin, j'ai presque envie de lui sauter virtuellement au cou de bonheur, pour le remercier.

 

 

 

 

 

 http://www.enquete-debat.fr/archives/dossier-marie-neige-sardin-un-ete-2010-mouvemente

 

 

 

Enfin, un écho à mes maux.

 

 

Enfin une reconnaissance vraie et sincère.

 

 

Enfin une approche, vers ces questions de fond, que nous devons traiter au plus vite, avant qu'un jour, pardonner, ne soit plus possible.

 

 

 

 

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13 août 2010 5 13 /08 /août /2010 17:54

 

Trois semaines de fermeture, histoire de retrouver mon village et ses anciens.

 

Trois semaines de bonheur, au coeur d'une province, celle où reposent mes grands-parents et mon père.

 

Trois semaines d'échanges vrais, assise au bord du fleuve de mon enfance, à tenter de comprendre" l'impossible".

 

Trois semaines de rires, d'émotions sincères, tant la nature m'a comblée de mille cadeaux.

 

Trois semaines d'émerveillements quotidiens, en osmose avec un maître de ballet aux allures aussi étranges que superbes.

 

 

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 Ils ne m'ont jamais quittée, confidents éphémères de mes souffrances, ils me conduisaient peu à peu  vers demain; se posant qui, sur ma main, mon épaule, mes cheveux, me faisant redécouvrir ce contact à l'autre comme une caresse à mon âme.

 

Depuis, l'échoppe a repris ses activités, " l'impossible" erre toujours au fond de mon être, tel du gros sel sur la béance de mes plaies; ma chatte, je n'ai point retrouvée, mon dernier panneau publicitaire a de nouveau été déterrioré, ma sonnette d'entrée de boutique a été volée puis jetée, mes voisins me pourrissent toujours autant la vie et pourtant, pourtant, au détour d'un rayonnage, j'ai soudain ressenti, une légère brise en mon coeur.

 

Plantée là, à choisir, qui sa bierre, son sandwich ou sa salade, la "police dite nationnale".

 

J'ai ressenti un puissant calme intérieur et tout en déposant virtuellement, entre eux et moi, l'image du papillon, j'ai tenté de croiser les regards de ceux, qui m'avaient refusé un verre d'eau, là, en face à face, droit dans les yeux, sans les supers pouvoirs, d'humain à humain(enfin si je puis encore me considérer comme appartenant à l'espèce).

 

Pas un seul n'a osé me regarder, leur gêne profonde était palpable, leur embarras suintait de leurs pores, sous mes yeux interrogatifs certes, curieux certainement, un tantinet moqueurs sans doute.

Eh oui, faire ses achats divers et se promener avec une bouteille de vin à la main ne fait pas trop sérieux quand on porte l'uniforme.

 

Il était sans doute plus facile de me dire durant ma garde à vue " que les racistes n'ont pas de besoin ici" pour vous faire bien voir des diverses composantes du commissariat de La Courneuve, que de me saluer comme vous le faisiez avant, lorsque vous désiriez lire gratuitement dans la boutique, les résultats de vos équipes préférées, où les derniers potins de "public' ou de"voici".

 

Fort de votre courage, vous avez tous déserté des rayons, tels, une envolée d'hirondelles à l'heure de la migration.

 

Depuis la clôture de la garde à vue, où l'on m'a intimé l'ordre de" faire profil bas" je sais que quoiqu'il m'arrive vous ne bougerez pas, m'abandonnant au sort que l'on réserve désormais aux patriotes, le lynchage et la camisole de force.

 

Ce que ces quelques minutes viennent de me faire comprendre surtout, c'est qu' en acceptant de devenir mes geôliers d'un jour, vous avez vous même, créé, une zone de non droit, au coeur du quatre-vingt-treize où la liberté d' expression, papillonnera sans cesse de clients en clients . 

 

 

 

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   "quand on a tout à craindre, on ne doit craindre rien"

                                                    Thomas Corneille.

 

 

 

 

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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 08:45

Sans doute un scénario que je pressentais, mais que ma réserve, mon éducation, mes valeurs me faisaient  remiser en une case:

 

                                            "impossible".

 

Mais à ce dernier, nul n'est tenu!

 

Pour préserver leurs images, leurs inactions, leurs erreurs, leurs alliances, ils sont donc allés jusqu' au bout de leur délire collectif, transformer la victime que je suis et qui ose s'exprimer, en une vulgaire coupable raciste et nauséabonde, folle de surcroit. 

 

Sans doute, l'erreur qu'ils n'auraient jamais dû commettre, car si j'ai de nombreuses fois, alerté, écrit des mails, des courriers, aux diverses institutions, c'est justement pour tenter de trouver, un dialogue, un échange, un partage, une solution.....

 

 

Leur unique réponse, la voici:

 

 

 

 

Ce qu'en pense une jeune fille, représentant la France de demain, s'étant construite dans cet environnement  de haine, venant de terminer  sept ans d' études dans un grand établissement français, accomplissant son travail avec droiture, honneur, responsabilité, de cette image de la République:

 

 

 

 

Il est inadmissible, que notre nom soit jeté en pâture, que je sois mise en garde à vue 24h, que l'on fasse ainsi obstruction au bon fonctionnement de ma librairie en privant mes clients de leur droit, à l'accés, à toute forme de culture, alors que l'ormeta protège mes agresseurs et mes accusateurs.

 

 

 

Nous refusons ensemble, cette image de La France et de ses institutions, telles qu'elles sont véhiculées, à ce jour en notre département . Des amis ont monté une pétition pour nous soutenir, en voici le lien, au grè de vos clics:

 

http://www.lapetition.be/en-ligne/aide-a-marie-neige-sardin--7975.html

 

D'autres ont fait des articles sur leurs blogs ou leurs sites, voici le dernier de RL:

 

http://www.ripostelaique.com/Suite-a-l-affaire-Sardin-reflexion.html

 

 

 

 

Nous avons des rêves, des espoirs,  mais en aucun cas, ils ne bafouent, ne piètinent, les valeurs, socle de notre république ;

 

 

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                                  "Liberté-Egalité-Fraternité"

 

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17 juillet 2010 6 17 /07 /juillet /2010 18:59

                                                           
Avis à ceux..........
 

 

                                                                                                        -qui invoquent les dieux pour que j'abandonne mon métier, mes valeurs, ma culture, et mes fidèles clients!

 

 

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                                                                               JAMAIS

 

 

 Avis à ceux .............

 

 

 

                                                                 -qui me soutiennent et  osent regarder la vérité droit dans les yeux!

 

 

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 Un énorme MERCI, tant je sais qu'il est difficile, dans ce politiquement correct d'être à mes côtés.

 

 

 

 

PS: 

 

Info du jour, un nouveau commerce sur la ville:   http://le-bourget.over-blog.com/album-1679165.html

 

 

 

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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 09:00

 

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Je ne me souviens plus lequel de nous deux est venu vers l'autre, sur FB, sans doute une première approche via, mon groupe de soutien "victime et non coupable":

 

http://www.facebook.com/?sk=2361831622#!/group.php?gid=99340025365

 

puis une seconde, plus constructive, plus éducatrice, puisque la cause à défendre me demandait une connaissance de l'islam que je ne possédais pas assez, pour mieux maîtriser le sujet et faire de ce groupe un vrai moyen d' action "stop à la lapidation des femmes dans le monde".

 

http://www.facebook.com/?sk=2361831622#!/group.php?gid=141309173848

 

 

Un groupe qui prit très vite son envol, se fit de nombreuses fois attaquer, tant il touchait un sujet sensible, mais qui était pour moi, un moyen de dépasser mes propres souffrances et donc un combat encore plus vital qu'il n'y paraissait .

 

Aldo fut là, pour me guider, pour calmer le jeu, lorsque les réactions devenaient trop houleuses entre les membres d'avis divergeant;

 

 

 Mais qui est Aldo, me direz-vous? :

 

Aldo Stérone est un Algérien vivant en Angleterre, mais que la situation française préoccupe. Il donne régulièrement son avis en vidéo, dans sa voiture, en terminant par un petit tour sur les routes d’Angleterre en musique. De quoi alimenter le débat donc !

La vie étant faite d'échanges, Enquête&Débat s'est tout naturellement tourné vers Aldo et vous permet donc de découvrir certaines de ses vidéos.

 

 

 

 

 

 

 

 

 J'ai longuement hésité à vous faire part de cette partie de moi, ouverte au monde et aux souffrances des autres, tout simplement par pudeur et en étant certaine de l'incompréhension collective.

 

Aujourd'hui, je demeure toujours ce grain de sable qui refuse de rejoindre la dune de l'indifférence, mais certaines institutions mises en cause dans mon article " les singes" ont jugé bon de me faire vivre un nouvel enfer les premier et deux juillet 2010.

 

Un enfer me permettant  de comprendre, qu'ils étaient prêts à tout, pour discréditer mes propos et me briser moralement, comme je suis prête à tout, pour les défendre . 

 

 

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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 12:35

 

 

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Midi glissait doucement vers deux heures. Comme on était déjà passé en heure d'été, cela ne se voyait pas: quelque part il était toujours midi.

 

Les talons de ses escarpins claquaient sourdement sur les pavés ou les bords de trottoirs de Sorrente. Elle donnait à la ville endormie son rythme; jouissance de sentir la chaleur s'étaler sur sa peau, caresser ses genoux comme deux paumes chaudes.

Le soleil lui rajoutait encore un peu d'or sur la tête, il l'avait faite son élue. Victorieusement, elle déambulait, inventant à ce verbe tous les sens possibles:

-Se promener, bien sûr!

-errer, surtout, ne pas savoir où le prochain pas se posera!

-se balader, ne plus voir et s'envoler.

 

Le prochain train? Eh bien vous avez le Rome-Paris dans quelques dix minutes. Un bonheur flou, ensoleillé, l'occupait tout entière, elle se sentait déliée à tel point qu' elle quitta ses escarpins rouges les balançant par la fenêtre de ce train lancé à grande vitesse.

 

Oui, super moment, pour nous les godasses, depuis ce jour, elle ne nous a plus quittées. Nous avons:

- parcouru, tant et tant de kilomètres de part le monde,

- cotoyé, tant et tant de godillots, de savates, de chaussures, de souliers, de tongs,

- avalé, tant et tant de terre rouge, ocre, grise, noire, sableuse, argileuse,

- pris, tant d'orages, de pluies, de grêle,

- pataugé, dans tant de boues, de mers, de lacs, de rivières et de rus,

que nous sommes riches d'expériences, de partages, d'échanges, sans pour autant en faire état au monde entier.

 

D'ailleurs, qui nous regarde, personne;  nul ne voudrait de deux godasses éculées, passées, élimées, sauf elle!

Elle nous chausse encore chaque jour, certaine, que nous allons la conduire vers demain.

Elle nous appelle "mes godasses chéries" , pensez donc, si nous sommes fières.

 

Parfois, nous avons été tâchées de son sang , de ses pleurs, de ses cris;

Parfois, nous avons regretté de ne point être dotées de supers pouvoirs pour la protéger.

Parfois, nous avons joué au ballon, ou tenté de grimper aux arbres, pour lui faire découvrir un autre horizon. 

Parfois, nous l'avons ressentie, apeurée, doutant, cherchant une issue à tant d'injustice.

Parfois,  nous aurions aimé juste la bercer pour la consoler, elle qui avait choisi l'ombre en pleine lumière.

 

 

 

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Puis vint ce jour maudit, où des godillots nous réduisirent au silence, à la soumission, à la honte, à la culpabilité, aux souffrances, au déni.

De longues heures s'écoulèrent, vingt quatre au total,  toutes plus odieuses les unes que les autres.

 

Nous fîmes la rencontre de deux godillots, abandonnés sous un bureau, nous intimant l'ordre "de faire profil bas"!

Franchement, ils étaient trop mignons, car vu notre état, impossible d'aller parader sur les Champs-Elysées, sans un petit rafraîchissement.

 

Dans ce labyrinthe de couloirs, dont le tout, forme un hôtel de police, nous avons dialogué avec  une nouvelle génération de godasses.

 

Elles sont montées sur coussins d'air, afin d' amortir les chocs et  assurer le bien être de celui ou de celle  qui les porte.....

 

L'idéal, pour elle; mais elle n'en veut pas, prétextant une rigidité, un enfermement dont elle n'a que faire, tant la liberté est sa devise.

 

 

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Depuis, elle nous a mis au vert, au repos, à la retraite en somme; gorgées de toutes ses souffrances, nous pesons trop lourd désormais pour elle seule.

 

 

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Elle nous a rangé au côté des guêtres en cuir de son père;

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

     histoire que nous trouvions, comment continuer  à nous faire:

 

 

                          "une certaine idée de La France"

   

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  • : Le blog de Marie Neige,les 36 ans d'une libraire au coeur du 93. 36ans sur Le Bourget puis 4 ans de Neuilly-Plaisance.
  • : libraire sur la commune de le bourget depuis 36 ans, mon carnet de route au coeur d'un département en pleine mutation; mon vécu de victime et mes 34 agressions en 10 ans; mes humeurs, mes pourquoi, vos comment, mes pleurs,vos rires, la vie en somme . AVERTISSEMENT: Seuls les textes publiés sur ce blog sont écrits par moi-même.Il circule sur la toile des écrits signés de mon nom qui ne m'appartiennent pas.
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